Lorsque l'essentiel de ma vie, c'était la photographie... Pour regarder à loisir de grosses sauterelles brunes, j'avais trouvé le truc ; je marchais sur elles, elles sautaient à 10 mètres, je les rattrapais et déclenchais un nouveau saut, ainsi de suite cinq ou six fois ; à un moment elles ne pouvaient plus sauter leurs cuisses tétanisées, à l'horizontale dans le prolongement du corps. Je pouvais les regarder tranquillement, les photographier, le temps qu'elles récupèrent.
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